Le Bédat et la Morge se rejoignent à Saint-Laure peu avant Maringues et ses tanneries. Il est très difficile de voir le bec (la pointe de terre délimitée par le confluant de deux rivières). Le plus simple pour admirer la confluence est de passer par la rive gauche de la Morge.
Mais débutons par le bec. Le plus « facile » pour l’observer est de se garer à côté du pont (au niveau de Chabreloche), puis de longer le petit chemin entre les maïs et le Bédat.
En prenant le chemin tournez la tête sur votre gauche, la vue sur la Chaîne des Puys est très belle.
Le bec se trouve dans l’angle en haut à droite, de l’autre côté des broussailles. La vidéo ci-dessus a été prise à cet endroit. La ripisylve (végétation arborée qui borde un cours d’eau naturel) est épaisse.
La photographie ci-dessus montre la Morge peu avant que les deux rivières se rejoignent. Le Bédat est ici en haut à droite, caché par la végétation du bec.
Les propriétaires de l’habitation située sur l’autre rive nous ayant envoyé des photos vous pourrez voir la confluence grâce à un autre angle de vue. La Morge arrive du fond et le Bédat (en plus opaque) de la gauche. Le pont situé en amont est en travaux. La terre remuée donne cette couleur à l’affluant de la Morge.
En revenant vers le pont de Chabreloche on peut voir le Bédat en aval du pont et le moulin de Chabreloche en amont.
La puissance de la chute d’eau permettait au Moulin de Chabreloche d’avoir deux roues. La première produisait de la farine de blé alors que la seconde a permis de produire successivement des boutons, puis des peignes, ou encore des couteaux.
La confluence entre les deux rivières est plus facilement visible de la rive gauche de la Morge (voir chemin 2) . Pour vous y rendre il faudra vous rendre en direction de Maringues par la D224, puis tourner à la première à gauche en direction de la Côte rouge.
La Morge arrive de la droite et le Bédat d’en face
Alors que vous étiez encore sur le territoire de Saint Laure lorsque vous étiez sur le bec, vous êtes maintenant sur les terres de la commune de Maringues.
Merci à la famille Geneste qui m’a fait visiter l’ancien moulin.
Bonjour,
C’est un lieu que je connais très bien.
Jusqu’à la fin des années 70 la Morge, encore peuplée de superbes truites réellement sauvages, s’y écoulait tout en méandres au milieu d’une forêt aquatique extrêmement dense, faisant de ce lieu une admirable réserve naturelle. Hélas, en 77 (si mes souvenirs sont bons) le lit de la rivière a été rectifié jusqu’à l’entrée de Maringues, la transformant en un chenal totalement rectiligne, totalement dénudé où, depuis, le poisson blanc a supplanté dame fario… GD.
Bonjour, Le cours a été modifié, mais il reste encore des méandres. J’en ai pris un en vidéo qui fera l’objet d’un article la semaine prochaine.
écoute moi! guy durantin!!!
tu vas m’expliqué…..tu as voulus la photo;
tu la eux!!!!
et ces moi qui ne vais pas bien!!!
st laure!
ça doit etre tres joile!!! 😉