Non, ce n’est pas la trace que laissent nos pieds mouillés sur le sol en sortant de la piscine ou de la douche, il s’agit du volume d’eau dont un pays a besoin pour faire fonctionner ses industries et faire vivre sa population. Au niveau d’un individu c’est l’eau consommée dans la vie de tous les jours.
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Une eau potable peu chère en Auvergne
J’avais entendu dire que l’eau potable ne coûtait pas cher ici, mais comme je n’ai pas la moindre idée du montant de ma facture d’eau je ne pouvais pas confirmer ou infirmer cette donnée. J’ai donc profité de la lecture d’un rapport du Conseil économique et social sorti fin mai 2009 pour en savoir plus.
Récupérer l’eau de pluie
Que ce soit pour arroser son jardin ou nettoyer sa voiture en plein été, l’utilisation de l’eau de pluie est promu depuis quelques années et encore plus depuis le grenelle de l’environnement.
Et comme pour tout en France, des textes législatifs encadrent cette pratique.
Récemment deux arrêtés (l’un du 21 août 2008 et l’autre du 17 décembre 2008) ont recadré l’usage de la récupération des eaux de pluie pour les habitations raccordées au réseau public d’alimentation en eau potable :
Des nanocapteurs dans du papier
Les méthodes de détection de matières toxiques dans l’eau sont très diversifiées et font l’objet de développement constant du fait de la forte mortalité associées aux maladies hydriques (6 millions d’enfants meurent des suites de gastro-entérites chaque année).
Une équipe américano-chinoise vient de publier ses résultats sur un nouveau système de détection ultra-rapide et efficace de la toxine microcystine-LR, toxine libérée par les algues bleues (cyano-phycées).
La mise en valeur des ressources en eau
Le rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau a été publié il y a un an lors du 5e forum mondial de l’eau à Istanbul ; il s’agit de la 3e édition.
Ce rapport donne une image exhaustice de l’état des ressources en eau douce au niveau mondial. Le rapport est en anglais et disponible librement sur le site de l’UNESCO – programme mondial pour l’évaluation des ressources en Eau.
The WaterChannel
Le WaterChannel est un site web qui recueille et diffuse des documentaires (courts ou longs) sur l’eau, ses usages, les problèmes qui y sont liés, l’environnement, et les initiatives prises de part le monde afin d’en améliorer la qualité et en assurer la diffusion.
Ce répertoire de vidéos est également un service multimédia à destination des organisations souhaitant mieux conserver et diffuser leurs documentaires. L’entreprise située en Hollande est une initiative de MetaMeta Communications, de l’ UNESCO-IHE, de Cap-Net et de Nymphaea.
La nuit de l’eau
Le samedi 20 mars, partout en France aura lieu la Nuit de l’eau, organisée par la fédération française de natation et l’UNICEF à l’occasion de la journée mondiale de l’eau.
3e édition de l’évènement, c’est l’occasion de sensibiliser le public à la nécessité de respecter l’eau grâce à ces animations festives, éducatives et solidaires. Les fonds récoltés permettront à l’UNICEF d’améliorer l’accès à l’eau potable des enfants du monde défavorisé.
Documentaires sur l’eau
Pour ceux qui ont manqué la soirée Théma d’Arte sur l’eau hier soir (ou qui étaient trop fatigués pour voir la fin comme moi), le site d’Arte+7 permet de rattraper son retard.
Les 2 documentaires sont disponibles jusqu’à mardi prochain 20h30 gratuitement.
Des graines d’arbre pour purifier l’eau
Le Moringa oleifera, ou Ben, est un arbre tropical.Présent en Afrique, en Amérique centrale et latine, sur le sous-continent indien et Asie du Sud Est, cet arbre fournit de l’huile pour l’alimentation et l’éclairage, il est resistant à la sécheresse et ses cosses, feuilles, graines et fleurs sont très nutritives.
Autre particularité de ses graines, leur important pouvoir antibactérien.
Un aqueduc sous Paris
Arte Radio propose des podcasts, des montages sonores, des créations sonores sur de nombreuses thématiques dont l’écologie.
J’ai eu l’oreille attirée par celui-ci : « Un aqueduc sous vos pieds » qui nous parle d’un aqueduc qui dès le Moyen Age permettait d’acheminer de l’eau depuis les collines de Belleville et de Ménilmotant pour abreuver les parisiens habitant le centre de la cité.