Les rejets de traces de médicaments atteignent les centrales d’eaux usées de part le monde et passent entre les mailles du filet. Des articles ont parlé de poissons et batraciens dont le sexe était modifié du fait d’une exposition à des traces résiduelles d’hormones. Cette fois ce sont les antidépresseurs qui ont été pistés jusqu’après la centrale de traitement des eaux usées de Montréal au Canada.