L’Eau Mère et la Couze Pavin rejoignent l’Allier entre Parentignat et Issoire. La première nommée rejoint le principal affluent de la Loire une centaine de mètres avant le vieux pont suspendu de Parentignat alors que la confluence avec la Couze Pavin est également à une centaine de mètres, mais après le pont. Un troisième cours d’eau rejoint l’Allier dans la même zone, mais de bien moindre importance : le ruisseau de Peix.

S’il est relativement aisé d’observer la confluence de l’Eau Mère et de l’Allier (du pont de la D996 ou du chemin qui part du parking à proximité), la confluence entre la Couze Pavin et l’Allier est plus compliquée à apprécier.

L’Eau Mère rejoint l’Allier après un parcours d’environ 36 kilomètres. Cette rivière du Livradois, naït près d’Aix-la-Fayette à un peu plus de 1 000 mètres d’altitude dans les bois de la Bessière. Le cours d’eau prend plusieurs noms et c’est seulement après avoir reçu l’apport du ruisseau de Chaméane qu’il prend le nom définitif d’Eau Mère.

  
L’Eau Mère peu avant sa confluence avec l’Allier – Photographie N. Laroche

Confluence entre l’Eau Mère (rive droite de l’Allier et à gauche sur la photographie) et l’Allier vue de la D996 – Photographie N. Laroche

Vue aérienne de la Confluence – Photographie N. Laroche

La Couze Pavin, également appelée Couze d’Issoire, fait partie des nombreuses couzes que l’on peut trouver dans le sud du Puy de Dôme. Elle prend sa source dans le Sancy (près de Notre-Dame de Vassivières), sur les pentes sud-est du puy de la Perdrix, en limite des communes de Besse-et-Saint-Anastaise et Chambon-sur-Lac. Son principal affluent est la Couze de Valbeleix.

Elle arrose le beau village de Saint-Floret,puis passe sous le pont de l’Estrade, peu avant son arrivée à Issoire.

Le pont de l’Estrade – Photographie N. Laroche

 
La Couze Pavin à sa sortie d’Issoire, sous l’A75 – Photographie N. Laroche

La Couze Pavin quelques centaines de mètres avant sa confluence – Photographie N. Laroche

L’Allier et la Couze Pavin vues du ciel – Photographie N. Laroche

L’Allier, se sépare en deux bras juste avant le vieux pont de Parentignat. La Couze Pavin est partiellement cachée par une ripisylve bien développée juste avant la confluence.

Zoom sur le bras droit de l’Allier et la Couze Pavin – Photographie N. Laroche

Autre vue de la confluence et du vieux pont de Parentignat – Photographie N. Laroche