Bon, il ne faut pas se sevrer trop vite. Après mes 27 heures de cinés au Festival du Court Métrage de Clermont, petit coup de blues et recherche de petits courts d’animation pour faire redescendre doucement le rythme.
Bon, il ne faut pas se sevrer trop vite. Après mes 27 heures de cinés au Festival du Court Métrage de Clermont, petit coup de blues et recherche de petits courts d’animation pour faire redescendre doucement le rythme.